Les chutes
Qui n’est jamais tombé ?
On tombe parfois dans la vie quotidienne, par exemple en faisant du sport (vélo, rollers, équitation), en glissant dans les escaliers, sur le verglas, etc.
Comment se fait-il qu’on a mal après certaines chutes et après d’autres qu’on se lève en riant ?
Il faut que quelques conditions soient réunies pour que l’énergie du traumatisme de chute reste « enkystée » et provoque une douleur ou un déséquilibre :
–Antécédents d’autres traumatismes non
soignés : le corps a moins de capacité
à amortir ou à absorber l’énergie traumatique.
–L’émotion présente au moment de la chute.
Ainsi, la colère, la peur ou la panique vont
enfermer cette énergie dans le corps.
–La propagation de l’onde traumatique qui peut
s’arrêter au niveau osseux-musculo-tendineux
et ne pas aller plus loin.
Il arrive aussi fréquemment que cette onde
voyage et s’arrête au niveau viscéral.
Par exemple une chute banale sur les fesses
peut s’arrêter et donner des douleurs au niveau
du sacrum, du coccyx ou aller plus loin et
provoquer :
– une dysfonction de la vessie ;
– un dérèglement du cycle menstruel ;
– une dysfonction de la prostate ;
– un spasme au niveau des piliers du
diaphragme, etc.
On peut apprendre à tomber comme on apprend pendant les cours de judo, aïkido, krav-maga.
Si on tombe : avant de se relever, inspirer-expirer profondément,
rouler sur le côté et en passant par la position à 4 pattes,
se redresser progressivement.
Si on a des granules homéopathiques d’arnica – prendre 4 granules.
Si on a un doute – passer chez un médecin pour éventuellement faire une radiographie pour exclure une fracture.
Si pas de fracture mais que la douleur persiste après une semaine – aller voir une ou un ostéopathe.
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